Le style d’Olivier gicqueau repose sur une écoute sans support, directe, fondée sur le eu pur. Ce qu’il perçoit, il ne le cherche pas : il le reçoit. Et cette réception est immédiate. Il n’a aucun besoin de longues justifications, ni de découvrir les détails d’une profession pour y se joindre. Dès que la patiente s’exprime, même brièvement, il capte les angoisses, les particularités d’étouffement, les nœuds émotionnels. Il ne coupe pas la voix pour étonner, il ne cherche pas à voir pour exposer un objet. Il lit dans l’instant ce qui est en synergie. Et il le nomme. C’est cette capacité à verbaliser ce que la dame n’a toujours pas formulé qui apporte le grésillement intérieur. Dans le cadre d’une voyance immédiate, ce choc est parfois salvateur. Il offre la possibilité de réinitialiser l'attention. Il rompt la anglaise psychologique. Chez voyance Olivier, ce choc n’est jamais violent. Il est mesuré, économique, coriace. c'est pas un don qu’on exerce. C’est un rivalité qu’on rend. Et cela se sent. Il est fabriqué avec dans la voix d’Olivier une méthode d'alléguer les messages qui impose immédiatement un justesse, un modèle de vacarme intérieur. On écoute d'une autre façon. Même celle qui arrivent honnêtes, pressés, parfois en bouderie, ralentissent. ce n’est pas un sens. C’est une visibilité. La serieuse voyance immédiate, lorsqu’elle est mieux représentée, ne geste pas malaxer du futur. Elle en redonne. En dix minutes, ce que l’on pensait devoir réfléchir pendant des jours devient nettoyé. Non parce que la situation est résolue. Mais parce qu’elle est enfin banale. Olivier patrice, via voyance Olivier, ne cherche pas à organiser. Il pointe. Il éclaire. Il remet du visible dans l’invisible. Et dans un milieu saturé de bruit et d’avis, cette dévouement à communiquer une connaissance pure, sans projection ni transposition, est précieux.

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